Accueil | Actualités | Enfant | Harcèlement scolaire, qu’en est-t-il ?

Harcèlement scolaire, qu’en est-t-il ?

Aujourd’hui beaucoup d’enfants en primaire mais aussi au collège sont victimes d’harcèlement scolaire. En effet, si dans de nombreux pays comme par exemple le Royaume Uni ou encore les USA, on dénonce et on combat cette forme de violence, en France cela devient une priorité .

Les victimes de brimades sont dans la plupart du temps des collégiens, des élèves de la classe élémentaire mais cela apparaît  aussi dans les universités sous forme de «bizutages». Ces personnes sont victimes de violence de diverses formes : moqueries répétées, de violence de la part de groupe d’enfant à l’école et récemment sur les réseaux sociaux, insultes, menaces verbales, vol de goûter, coups, racket, et même jusqu’à des violences sexuelles.

Les harcèlements scolaires ont des conséquences qui marquent psychologiquement les victimes : perte d’estime de soi, manque d’intérêt scolaire, désocialisation, dépression, refus d’aller à l’école et même parfois conduite suicidaire dans les cas extrêmes.
On note que 11,7% d’enfants avouent avoir été ou sont victimes de violences physiques/verbales répétées et 5% qui sont ou ont été soumis à des harcèlements plus sévères.

Le ministère de l’éducation nationale prévoit des initiatives pour ce mal qui touche un élève sur dix en France. L’objectif de ces associations, prévention et lutte  contre le harcèlement entre les élèves, est d’interpeller les publics sur la cruelle banalité de l’harcèlement entre personnes dans le milieu scolaire.

Cette campagne a été mise en place par Marcel Rufo et Nicole Catheline entre autres, tous deux pédopsychiatres sous forme de spot publicitaire et site internet

[flv:https://www.mon-psychotherapeute.com/wp-content/uploads/2012/01/agir-contre-le-harcelement-a-l-ecole-spot.flv 670 480]

source vidéo : www.agircontreleharcelementalecole.gouv.fr

Le harcèlement scolaire doit nous inviter  nous, parents, professeurs à dénoncer toute sorte de violence dans les établissements car dans le pire des cas celui-ci peut pousser au suicide de jeunes enfants.

Une prise en charge thérapeutique peut être mise en place pour les victimes de brimades.

Mon-Psychotherapeute.Com

Poser votre question

Posez votre question, un praticien certifié vous répond !
Vos informations sont confidentielles. Tous les détails dans notre rubrique "Mentions légales"

Laisser un commentaire

1
0